Les faits "plus forts que Lord-Maire", et particulièrement les faits qui relèvent d'une stricte interprétation de l'objectivité scientifique en matière de biologie humaine, mais aussi de sociologie relativement aux "études de genre" exacte traduction de l'anglais 'gender studies'..!
Ne pas confondre "études de genre" avec une prétendue Théorie du Genre qui n'a jamais eu droit de cité.!
Pour avoir tenu en dérision de réelles enquêtes de sociologie de niveau académique - et tout dernièrement fait rire la galerie sur la Toile par ses sorties-pastiches ciblées tout-à-fait dignes de la dame-patronnesse qu'elle semble vouloir incarner devant un électorat franco-français de ladite "France profonde", Madame Christine Boutin représentante politique et ses suiveu -rs -ses (qu' ils - elles soient ou non inscrit -s -es pour le prochain scrutin électoral) seront interpellé-s -es ici et maintenant très directement.
Bien entendu, votre serviteur-internaute auteur de ces lignes se défend de vouloir intervenir directement dans un débat où il fut mal-échu dès le départ que le Ministre de l'Education de la République n'ait pas su trancher avec bon-sens et fermeté, en faisant connaître publiquement, précisément et sans ambiguïté, de quoi il s'agit réellement.
Il y a des pays où le type d'affaire ci-après ne reçoit pas le même traitement qu'en France ou en Belgique, à savoir:
http://erreurjudiciaire.com/patrick-dils/
Sous attachement sur internet (cyclopédia) vous trouverez notamment retracée cette même affaire judiciaire - désormais exemplaire, du tueur en série Francis Heaulme, dont à présent le doute n'est plus permis quant à son implication probablement directe - mais non-avouée, dans la mort des deux enfants-victimes.
Il y a des pays où le type d'affaire ci-après ne reçoit pas le même traitement qu'en France ou en Belgique, à savoir:
http://erreurjudiciaire.com/patrick-dils/
Sous attachement sur internet (cyclopédia) vous trouverez notamment retracée cette même affaire judiciaire - désormais exemplaire, du tueur en série Francis Heaulme, dont à présent le doute n'est plus permis quant à son implication probablement directe - mais non-avouée, dans la mort des deux enfants-victimes.
La facilité serait de hausser les épaules, de détourner le regard en maugréant "encore ces intellos qui vont chercher la petite-bête avec des problèmes sans aucune relation les uns avec les autres".
Et pourtant relation peut se faire en l'occurrence.
En France comme en Belgique, ce type d'affection médicale n'est pas censé délivrer un quelconque "permis de tuer" à quelque tueur/tueuse en série que ce soit encore.
Mais en France comme en Belgique, le traitement des affaires judiciaires nécessite que les préven -us -ues fassent leurs aveux et acceptent la peine à laquelle, en toute justice, ils/elles ont droit.
Francis H. n'est bien évidemment pas le seul citoyen à présenter la bien réelle anomalie génétique, se présentant extérieurement comme maladie rare ou dite orpheline connue sous l'exacte appellation "syndrome de Klinefelter".
Personne ne le prétendra; mais rien ne pourra nous empêcher d'imaginer sérieusement que Francis H. enfant ne serait pas devenu cet adulte criminel tueur en série si son handicap génétique n'avait pas été plus tôt dépisté et - plus important, authentiquement reconnu et accepté par toutes et tous "en âme et conscience" sans bandeau sur les yeux, à défaut de l'avoir été d'abord par son père et les proches.
Au final ne devons-nous pas nous rendre à l'évidence: si justice doit être rendue et coupables puni(e)s., sincèrement: bénéficie-t-on vraiment de meilleur traitement en section psychiatrique fermée plutôt que chez les "droits communs"?
Toute autre chose à présent: les individus de formule chromosomique XXY méritent -ils -elles qu'on s'adresse à "eux" ou à "elles"??
Se poser la question serait déjà une toute première approche des dites "études de genre" dont la finalité n'a pas été convenablement explicitée, dès leur toute première évocation, par l'actuelle équipe ministérielle en France.
Sans doute Madame Christine Boutin et l'opposition parlementaire ont pu trouver là porte grande-ouverte pour s'y engouffrer avec nombre slogans réducteurs et raisonnements à l'emporte-pièce.